25 septembre 2007
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Réveillée tôt samedi matin vers 11h (oui c’est tôt pour un samedi matin !) par le facteur m’amenant 2 paquets. D’ordinaire ça m’excite de recevoir des paquets un peu comme si c’était Noël, mais là non c’était tôt un samedi matin et j’étais dans un beau rêve en plus. Posés dans un coin pour regagner mon lit de feignasse, je en les ai ouverts qu’en fin de journée. L’un des 2 contenait la fameuse parure Dim Osmose dont je dois faire le buzz.
Késako le Dim Osmose ?? Alors c’est un soutien-gorge sans armature à la texture révolutionnaire en silicone, Silisculp… Et oui maintenant la silicone on ne la met plus dans le néné mais sur le néné !
Objectivement ça donne quoi ?
Version « je porte mon osmose et je suis habillée avec une robe au décolleté intéressant ».
C’est joli, c’est lisse, j’ai l’impression d’être la miss Boops du jour. Ma collègue me demande si j’ai une nouvelle robe, je lui réponds que c’est le décolleté qui donne cette impression.
Au restaurant j’aimerai que le serveur regarde plus mon assiette que mes seins, m’enfin.
Mes seins ne bougent pas d’un iota et restent gentiment à leur place.
Objectif réussi, je n’ai plus qu’à me teindre en blonde et je suis fin prête pour un remake de « La blonde et moi ».
Version « je suis juste en soutif et petite culotte ».
Bon une fois la robe enlevée, ça perd de son glamour car le design est loin d’être sexy, la matière pas aussi brillante que dans la pub et le toucher certes doux ne peux empêcher de sentir l’épaisseur un peu coussinet des bonnets. Perso sans hésitation je mets une photo prise à mon insu par le trou de la serrure, tellement je me sens plus proche d’un maillot de bain que d’un sulfureux soutien gorge.
Côté confort je me sens un peu engoncée, j’ai plus la sensation de me trouver dans un soutien gorge de sport version améliorée (et croyez moi j’ai l’expérience des soutifs de sport), car ne l’oublions pas , pas d’armature, il faut bien compenser par une légère compression de la poitrine ce manque de soutien.
Une chose est sure il y en a au moins un ou deux qui ont maintenant nos mensurations en terme de soutif, à nous blogueuses testeuses.
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Published by Frogita
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Trucs de nanas
28 semaines plus tard, c’est la suite de 28 jours plus tard. Pour ceux qui n’avaient pas vu le premier opus : un virus avait contaminé et détruit l’Angleterre (en 28 jours) transformant les gens en une fraction de seconde en êtres plein de rage les yeux injectés de sang se jetant sur tout ce qui n’était pas contaminé pour les mordre ou les tuer, plus que pour les bouffer étant donné que c’est le manque de nourriture qui va les décimer (ben oui ils pensent surtout à attaquer plutôt qu’à manger). On diffère du film de zombie dans le sens où il ne faut pas mourir pour renaitre, là ils sont juste malades, contaminés quoi ! Et en plus ceux là ne se trimbalent pas les bras ballants, bien au contraire ils ont même l’air dopé plus qu’un coureur cycliste tellement il battrait le recordman du monde de 100m. Bon le premier j’avais beaucoup aimé … normal j’adore les films anglais qui abordent le genre. Toujours tellement moins politiquement correct que les films américains. Et là dans le second opus c’est totalement vérifié. Donc on est 28 semaines plus tard après l’apparition du virus. L’Angleterre est à reconstruire, les ricains forcément sont là pour remettre les choses au point. Le virus semble éradiqué et les premiers réfugiés reviennent, dont deux enfants qui viennent retrouver leur père (Robert Carlyle, loin de son rôle dans The Full Monty). Bon évidemment c’est aux mioches que revient la palme de la crétinerie de la-chose-à-ne-pas-faire-dans-un-film-d’horreur, mais il faut bien que le film se relance. Et donc on s’en doute le virus est toujours dans le coin, ça repart de plus belle (à noter cette scène d’effroi dans les sous-sols où sont parqués les gens, brrrrrrr, ma phobie du parking est revenue). Le film est un bon reflet de la réaction humaine face à l’inévitable. Comme dirait mon spécialiste ciné « une des meilleurs films d’anticipation réussis depuis les Fils de l’Homme ». 
Après tout cela, besoin de rire donc je suis allée aux funérailles, Joyeuses Funérailles. C’est l’histoire d’un mec qui essaye d’enterrer son père, mais entre la famille, les invités et quelques révélations qu’il ne faut pas révéler, ça devient un joyeux bordel. Film de la lignée de l’humour british à la « 4 mariages et un enterrement », on y passe un joyeux moment de détente. Le film aurait pu être distrayant encore plus si la dinde à coté de moi avait arrêté de glousser comme une truie et cessé ses remarques toutes les 5 min… (oui je veux un cinéma pour moi toute seule sans personne qui mange du pop corn ou qui tape dans le siège). Je n’en dis pas plus, c’est un film comique c’est tout. 
(c'est moi là en plein milieu... je montre pas de photo de près elles sont trop horribles) 
Donc pourquoi cette défection au profit du ciné ? Parce qu’il y avait une avant-première à l’UGC de la Défense pour L’Age d’Homme…Maintenant ou Jamais avec mini présentation de l’équipe avant. Et j’avoue que je voulais voir Romain Duris , acteur principal du film, en live (ouais j’ai un petit faible, et pourtant je n’aimais pas du tout avant). Constatation, la caméra ça grossit. Une crevette !! j’avais en face de moi une crevette (mimi le crustacé avec une bonne bouille, mais une crevette quand même). D’ailleurs pendant tout le film lors des scènes de fessiers, je me disais « mais non j’ai vu c’est une crevette !! ». 
