La mienne.
Ce soir je suis conviée par le hareng pour une folle nuit… que j’ai cru pour mon birthday, hélas toute allusion à ce sujet semble glisser sur lui comme une goutte d’eau sur un lubrifiant au silicone.
La tentation et surtout la perspective d’une débauche démesurée après une période plutot calme (euh là je crois que je mens un peu) avec ce personnage que j’aime, j’ai aimé, je sais plus (enfin si je sais) ça me branche grave à devoir en changer de culotte toute les heures (oh je déconne !!).
Le hic c’est cette irrésistible envie de régler quelques comptes ce soir. Parce qu’à force de beaucoup l’aimer et pardonner je suis juste en train de le détester, et ça j’avoue ça me gave.
En dehors du fait que l’amour n’est pas en retour, c’est une certitude maintenant, ça aurait pu être une histoire sympathique (selon mes critères que personne ne semble bien capter) mais ce couillon semble vouloir tout foutre en l’air. Je retiendrai notamment cette phrase d’anthologie résumant mon allusion à venir faire un coucou en pote le temps d’un we dans son ile stockholmienne (d’ailleurs on l'appelle comment l’habitant de stockholm ??), parce que moi j’ai jamais vu Stockholm : « Paris c’est Paris, chez moi c’est chez moi ». Après avoir appris que le prénom que j'utilisais pour le nommer depuis un an et demi n'était pas en fait le sien (à sa décharge le vrai c'est quelque chose!!), ça met comme un coup de bambou plutôt mal placé.
Le premier qui me pose la question de savoir pourquoi j’y vais quand même, regarde la photo en dessous :
En fait ça n’a rien à voir, je détourne juste l’attention. Ce monsieur est un mannequin suédois (pour l'illustration quoi) et s'appelle Markus Schenkenberg.
