7 novembre 2007
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Pour une fois je vais causer de mon boulot. Voilà un an et demi environ que j’ai décidé de ne plus occuper le poste que j’avais pour moultes raisons :
- Devoir rester scotchée sur le même projet pendant au moins 2 ans minimum … je me rappelle de cette phrase vendeuse « au bout de 2 ans la signalisation ferroviaire n’aura plus de secret pour toi »…là vous me comprenez
- Etre envoyée à perpèt’ de chez moi alors que les bureaux officiels sont localisés à 10 min de chez moi, que j’y ai un parking….perdre 3 h de ma vie chaque jour dans les transports, no way.
- Encadrer à la baguette oui, subir les doléances et mécontentements d’augmentation de salaire que je donnerais volontiers si je pouvais, non.
Donc après réflexion (rapide) j’ai trouvé le poste (toujours dans la même boite) qui me convenait il y a donc un an et demi. Ses avantages :
- toujours à 10 min de chez moi
- le sujet change tous les mois au moins
- des gros coups de bourres (de taf je précise, parce que dans le coin malgré 26 étages c’est la disette) suivi de petites périodes de glandouillage pour souffler
Bref le truc qui me correspond tout à fait.
Mais voilà depuis que j’ai fait part de mon souhait pource type de poste généralement pas apprécié des autres, j’ai eu droit à tous les 3 mois à « bon tu veux faire quoi ? ». Stupéfaction la première fois… ah je n’ai pas été assez claire, reformulons le souhait… 3 mois après « bon tu veux faire quoi ? »… apparemment non ce n’est pas une légende, c’est le vraiment le bordel dans cette boite… ensuite j’ai pris le partie d’en rire à chaque fois qu’on m’a posé la question… je l’ai tenté en anglais, en allemand, ai pensé formuler mon souhait en néerlandais ou islandais si je connaissais ces fabuleuses langues…
Et voilà que lundi on me pose la question différemment « alors il paraît que tu veux faire ça ? »…
Donc début janvier, je serai officiellement dans la structure et même que je vais enfin avoir un vrai bureau… si par la même occasion on pouvait me changer mon très lent pc ( de temps en temps je tape les lettres et qu’elles apparaissent seulement 5 sec après, magnifique quand on est sensé bosser dans une structure informatique.. ).
Alors forcément je vais peut être moins bloguer... (euh non là je déconne!)
Bon j'ai résolu le problème de ce que je voulais faire au bureau... mais posons nous la question subsidiaire : Qu'est ce que je veux vraiment faire quand je serai grande dans la vraie vie??
(mis à part mère au foyer avec nounou et femme de ménage?)
Alors forcément je vais peut être moins bloguer... (euh non là je déconne!)
Bon j'ai résolu le problème de ce que je voulais faire au bureau... mais posons nous la question subsidiaire : Qu'est ce que je veux vraiment faire quand je serai grande dans la vraie vie??
(mis à part mère au foyer avec nounou et femme de ménage?)
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Published by Frogita
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Frogita
Le Dernier Gang librement inspiré de l'histoire du Gang des Postiches et de celui qui fut soupçonné d'être à la tête du gang mais qui ne le dit jamais lors des interview. Avec Vincent Elbaz que j'adore avec sa tête que des fois on a vraiment envie de lui mettre des claques.
Le premier Cri. Pour le coup je n'étaits pas sure de vouloir y aller, hésitant avec un film d'action. Là pas d'histoire, juste des femmes sur le point d'accoucher et accouchant d'ailleurs. La première image est celle d'un enfant sortant de sa mère dans une piscine au milieu des dauphins. Passées les premières minutes de pure émotion de la vie qui naît, quoiqu'un peu trop réalistes pour les âmes sensibles, on peut trouver le film un peu répétitif et soyons honnête, un peu chiant. Vision de l'accouchement à travers le monde, en Inde, chez les masai, chez les touareg, chez des new age au Canada... new age oui voilà le mot, ou comment un homme au travers des femmes qui ont choisi ou pas d'accoucher dans la douleur naturel de l'enfantement nous montre que ça a l'air vachement facile en fait. Quand même durant tout le film mon coeur a balancé entre :
Invasion, avec Nicole « aaaah » Kidman et Daniel « 007 » Craig. Vaste remake ou film inspiré de Bodysnatchers (« l’invasion des profanateurs » en français dans le texte, en fait il y en a 2 versions, une de 66 et une de 78). La bonne vieille histoire de l’entité extra terrestre qui prend possession du corps humain pendant le sommeil. Pour le coup ils sont semblables mais n’ont plus aucune émotion…. C’est pour faire disparaître le malheur du monde, qu’ils disent. Bon ben oui rien à voir, je me suis littéralement ennuyée, pour rester polie. On attend gentiment que ça se passe, on ne sursaute pas, c’est édulcorée avec une fin bien de notre temps et un semblant de moral à 2 balles…. Perso si vous voulez cous faire une version du truc prenez celle des années 70 avec Donald Sutherland et Leonard Nemoy (oui oui Spock), elle est vraiment mieux. Surtout que là l’image de fin c’est autre chose… 
Mickael Clayton. Avec le séducteur Nescafé Georges Clooney. Pour le coup j’aurais du en boire beaucoup du café avant d’y aller …. Car je me suis endormie. En partie car très fatiguée et aussi car ça parlote beaucoup. L’histoire d’un avocat, bien que je n’ai toujours pas compris si il l’était vraiment parce que ça parle un peu en sous entendu, qui a des problèmes de frics, à cause d’un bar qu’un frère, beau-frère ou pote , là encore on ne s’est pas trop, c’est au spectateur de se débrouiller pour comprendre, donc c’est un avocat qui se remet en question lors de la défense d’un gros client qui en fait n’est pas propre sur lui du tout. J’ai du trop resté dans l’esprit de la Firme, qui au moins bougeait, pour apprécier un peu celui là.
Promis je reviens avec du consistant la semaine prochaine
Samedi.... ah samedi ... emploi du temps réglé à la minute près... 4 rv de pris, timés à la seconde près.... ah ah quand j'y repense je me gausse. C'est entre le premier et le deuxième rv que ça a foiré....je me retrouve en banlieue parisienne dans un patelin dont je ne connais même pas le nom, à la recherche d'une station essence vu que mon réservoir crie sa soif à coup de voyant clignotant. Ouf the station... hop un plein et on remonte en voiture....VouVouVouououou (cri d'agonie de la voiture) et le silence..En panne... arghhhhh. Apparemment c'est la batterie me dit on.. bon et bien on va la changer "monsieur le pompiste,une batterie, une".. "désolé ma petite dame je n'en ai pas! faut marcher bien 15 20 min pour en trouver une".
Suite à la déception éprouvée la semaine précédente aux 20km de paris et du résultat pitoyable, j'ai viré mon lièvre et pris un "coach sportif". Résultat réveillée aux aurores vers 10h (oui un dimanche matin c'est les aurores) pour aller faire un "petit " jogging...12,3 km... pensez vous que je dois m'inquiéter à l'évocation d'une éventuelle préparation à un triathlon (quoique plus ça va plus ça me tente)?